Edition d'objets décorés et cartes postales
Bien que les aléas de ma santé et leurs répercussions professionnelles aient rendu tout cela fort théorique, mon ancienne activité (débutée en 2007) était seulement d'illustratrice, avec statut légal "artiste", lequel statut ne m'autorisait à vendre que des oeuvres originales ou des tirages en série limitée numérotée.
Il m'est arrivé de faire imprimer des cartes postales, mais en petit nombre et à destination de les vendre sur mes stands... lesquels stand ont été d'abord rares, puis au moment où j'espérais les voir devenir plus nombreux, ont stoppé totalement (raison de santé). J'ai beaucoup regretté, alors, de ne pas pouvoir produire plus que des séries limitées !
Je l'ai regretté d'autant plus que des quantités de sites me passaient sous les yeux, permettant de vendre des t-shirts et autres objets décorés, selon le principe du tirage à la demande...
Hélas, ma cervelle pinailleuse s'est heurtée à la question "et légalement, ça donne quoi ?", c'est à dire "je déclare ce revenu où et comment ?", si bien qu'au final quand la santé (encore elle) a cogné à la porte pour me dire de stopper tout ça, je n'ai pas fait beaucoup de difficulté.
Comme bien souvent, j'ai repoussé à "quand j'irai mieux", et pour finir, me suis enfoncée dans l'immobilisme.
C'est une supèèère manière
de parler de ma future maison d'édition,
tu ne trouves pas ?
A présent, je me pousse aux fesses pour repartir d'un bon pied (on verra si j'y arrive), et il est temps de revenir à l'idée "objets décorés" et aux questionnemets sur sa mise en pratique.
Je n'ai aucune intention de nier que la transformation de mon numéro SIREN (entreprise) en "maison d'édition" ait pour motif mon autoédition de roman, mais n'ai pas plus plus envie d'appeler des gens à monter sur mon radeau avant de savoir s'il parvient à naviguer.
Il faudra néanmoins que ma maison ait quelque chose à vendre ! En dehors de ce roman, qu'est-ce que ce sera ? Au niveau littéraire, passé un certain temps (si je tiens le coup), probablement un puis plusieurs autres textes. De façon plus globale, il y aura des objets décorés.
Retour au point de départ, avec un statut légal différent, plus adapté à la vente aussi bien de mugs ou cartes postales que de livres.
Dans le domaine des objets tout comme dans celui des livres, c'est de l'autoédition, mais le regard porté dessus par le public et les éditeurs plus gros n'est pas le même d'un côté et de l'autre. Du moins, c'est l'impression que j'en ai.
Bref... je papote, je papote...
Tout ça pour dire que ma maison pas encore naissante sera en un premier temps éditrice surtout d'objets décorés tels que des t-shirts ou des mugs.
Et dire aussi qu'il va falloir choisir les sites sur lesquels seront fabriqués et vendus ces objets ! Car ce n'est pas encore fait...