High Moon, c'est...
Par le nom : un jeu de mots, sur "High Noon" (titre original de "le train sifflera trois fois), et "plein lune" (mon astre totem, et le symbole des rêveurs).
Par l'ojectif : un sacré challenge, ou bien une utopie, à moins que ce soit un délire total ?
J'imagine assez l'aventure comme un convoi qui se forme peu à peu, mon chariot premant la piste seul, puis un autre le rejoignant et ainsi de suite jusqu'à devenir un grand convoi. Ou bien une petite tribu. Ou bien un village.
Par la personne qui se lance là-dedans : une sélénite bien rêveuse qui essaye toutefois de ne pas oublier que derrière la face éclairée de la Lune, il y a l'autre, sur laquelle se trouvent des corvées indispensables à concrétiser ce qui est, au départ, intangible.
Par les moyens disponibles : pas grand-chose, pour le moment.
C'est pourquoi je tiens à insister sur l'aspect "convoi de chariots".
Le genre Western est peu pratiqué, quoique actuellement en voie de retour.
A l'origine de High Moon, il y a un roman que j'ai écrit en 2014. En ce temps-là, je n'aurais pas tenté le coup, même si j'avais été plus sûre de mes capacités. Ce n'est qu'en 2018 que j'ai commencé à élaborer le projet d'une autoédition, et immédiatement de rêver à l'étendre en maison d'édition. C'est courant 2020 que la décision de sauter le pas vers une maison d'édition "pour de bon" a été prise. Le dépôt de marque a eu lieu au printemps 2021, ainsi que la transformation de mon entreprise "illustration" en "maison d'édition".
High Moon ne sera, surtout au début, qu'une petite maison, et pourra même sembler ne pas valoir mieux qu'une autoédition. Cependant, pour les auteurs isolés, le chemin sera difficile, et tout le monde ne décroche pas "Galligrasseuil" ! Chacun trouvera sa préférence...
Les appels à textes me permettront de découvrir les auteurs, ainsi qu’aux lecteurs et libraires de découvrir High Moon.